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mp 100. DISSERTATION ——
mi yl ; Le prétre bénits le diacre répond, priez: pour mol: le prétre réplique par
- deux ou trois mots de priére, et le diacre y ajoute trois fois amen. Ils disent
aussi 'un-et autre jusqu’a trois fois, Semgneur, vous ouvrirez mes levres.
Le diacre sort les choses sacrées du (a) tabernacle, il adore trois fois, et re-
demande. d’une voix distincte la bénédiction; le, prétre la'donne. selon la
formule ordinaire, a quoi le diacre et le choeur répondent encore amen, et
c'est ici que l’on prie pour la paix, pour le salut des fidéles > pour Péglise
owT’on est et pour ceux qui s’y trouvent assemblés pour y faire leurs dévo-
tions; pour le patriarche, ou Varchevéque et les dignités inférieures de
Véglise; pour les: souverains ; pour la santé, pour la fertilité de Ja terre ,
pour les voyageurs, les malades, les captifs, etc... ws nophy :
Aprés ces priéres commence la premiére antienne. Je passe Poraison se-
- eréte et quelques répons du. diacre et du cheur, le chant de la premiére.
antienne par ce chocur, ou des typiques (b), si c'est un dimanche; l’oraison
secréte de laseconde antienne dite par le prétre, la seconde antienne chantée
par le chocur (c), les typiques chantés encore, les répons qui les suivent, la
troisiéme antienne ou le ¢ritecte (d),.chanté par le choeur; les béatitudes
chantées aussi quand c’est un dimanche. Je passe aussi les trois inclinations
du prétre et du diacre devant la sainte table, lorsque le chccur est parvenu
au Gloria Patri; Vévangile rendu au diacre, leur sortie par la porte qui est
au septentrion, pour rentrer ensuite dans le sanctuaire; les nouvelles ‘incli-
nations du prétre et du diacre, lhoraire repris par celui-ci, oraison d’en-
irée, dite secrétement par celui-la; le diacre tourné vers le, prétre, lui de-
mandant la bénédiction de la sainte entrée, et’ montrant.en méme tems
lOrient; le prétre faisant le signe de Ia croix vers cette partie du monde,
et bénissant la sainte entrée. Je ne crois pas non plus qu'il soit nécessaire
dennuyer méthodiquement le lecteur par le détail précis’ et régulier des
priéres qui précédent ou suiventles cérémonies ala messe des Grecs comme
4 celle des Latins. - : ;
Aprés cette bénédiction de lentrée , l’évangile ayant été baisé encore par
le diacre, ou salué, selon.le terme de original, ce diacre se présente de-
vant le prétre, léve un peu les mains, et montre Pévangile, en disant A”
haute voix voila la véritable sagesse. Le prétre et le diacre rendent les hom-
mages convenables : celui-ci met l’évangile sur la sainte table, les chantres
chantent les (e) tropaires qui sont propres au jour. Vers la fin du chant, le”
diacre demande avec les mémes cérémonies qu’auparavant la bénédiction'du
tems du trisagium. Tout ressemble icia ce qui a précédé. Le cheeur répond, :
ou dit amen a la priére du prétre; le chocur chante le érisagium Cf. ys et ce-
‘
& Baas traduit plus haut par le mot ‘de Sanctuaire » etc, : a
L e sont les Pseaumes CII. CXIY. etc. qu’on appelle Typi 5 x parti ’
les recitent alternativement. : a Ppetie Zypiques. Les deux parties du chocur
4 (c) Les seconds Typiques. : , : :
ed (4) Tritecte, chant ainsi nommé, comme qui dirait froisié axié
it Ce , qui dirait froisiéme et sixiéme.
uit quent chants : Yoffice de la messe en prend deux 3 le troisiéme et le sixié
_ > : so :
| (e) Cest-a-dire le chant qui est a Yhonneur du Saint dont on doit célébr er le jour.
H : ’ (f) On trouve dans ceux q ecrit sur lHistoir e Eccle: iasti iv ieu es.
“y , u uL ont € r Ss. que di ers remarques curs S'
sur le Trisag ium. Je rapporterai ici un miracle ui,. ar ses circo ¢ ‘ mis de
1S! PP’ nt Pp stances peut etre
orque Pierre le Foulon. Chef des Theopaschites , qui vivait
Loffice. diurne
me, qui font le